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Une présence qui se répand

Un chant reprend le message évangélique à travers ces paroles : « Dans le monde entier, le saint Esprit agit ».

Ce n’est pas qu’il y ait parfois des obstacles internes à cet élan à travers des scléroses et des déphasages qu’il convient de mettre en évidence. Mais, aujourd’hui, dans cette revue de presse, c’est bien une manifestation de la foi chrétienne qui s’exprime dans des domaines variés et sous des formes différentes. Ainsi, la présence chrétienne apparait dans le registre du sport, se manifeste dans l’environnementalisme, aborde la vie politique, s’exprime directement sur internet tandis que l’œuvre de l’Esprit anime une recherche spirituelle et le chemin qu’elle emprunte. Divers pays de la francophonie sont concernés : République centre-africaine, Québec, Suisse et la France aujourd’hui engagée dans cet évènement international que sont les Jeux olympiques. Cependant, la foi chrétienne est également appelée à se manifester dans l’univers de la recherche, dans des savoirs et des représentations en pleine évolution, ici la psychiatrie, l’intelligence artificielle, le droit international et la sociologie. N’y a-t-il pas là un appel à reconnaitre l’œuvre de l’Esprit, exprimer notre gratitude, et quelque part, nous inscrire dans ce mouvement.

 

La Rédaction

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Pascal Colin, initiateur de Témoins, partage son expérience et sa vision.

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Panorama de presse – Hiver 2024

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Appelés à voir en avant

Dans ce monde en plein bouleversement, nous sommes saisis par les cris des victimes d’une fureur guerrière, inquiets face à l’ampleur des dégâts que l’humanité a provoqué dans les équilibres naturels, déconcertés par un manque croissant de repères. En d’autres temps, bien d’autre maux ont affligé l’humanité. Et c‘est pourquoi les visions d’espérance qui sont apparues alors, continuent à nous éclairer aujourd’hui.

Ainsi le message biblique s’adresse à nous aujourd’hui avec une particulière pertinence. Nous sommes appelés à prendre conscience du rapport entre nos actes et leurs effets et à écouter l’inspiration divine pour changer nos comportements et entrer dans une dynamique d’espérance. Appelés à regarder autrement, à regarder en avant.

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De la dynamique de l’Église première

« L’Eglise à la maison » de Marie-Françoise Baslez

En regard d’institutions hiérarchisées et codifiées, quand des chrétiens découvrent le Nouveau Testament et la dynamique qui s’y manifeste, ils trouvent dans leurs rencontres, la présence du Christ et le souffle de l’Esprit. Alors apparaissent de petits groupes croyants, des assemblées de prière. Et de même que l’imprimerie a répandu l’accès à la Parole biblique et favorisé le partage qui s’en est suivi, la révolution numérique, internet, a changé la donne de la communication et permet une interconnection en réseaux. Cependant, si l’osmose entre l’Église et l’empire romain, intervenue au IVe siècle a suscité la confusion et engendré une institution religieuse hiérarchisée de haut en bas, nous sortons aujourd’hui de cette situation en entrant en post-chrétienté. Aussi, des théologiens s’inspirent à nouveau de l’exemple de l’Église première dans une vision nouvelle de l’ecclésiologie. Cela avait déjà été le cas au moment de la Réforme. Ainsi aujourd’hui, désirons-nous mieux connaître la vie des premières communautés chrétiennes dans leur environnement, et la manière dont elles ont grandi et communiqué. C’est nous tourner vers la recherche historique. A cet égard, le tout récent livre de Marie- Françoise Baslez sur « l’histoire des premières communautés chrétiennes Ier-IIIe siècle » (1) est particulièrement bienvenu. Et le titre d’entrée : « L’Église à la maison » est significatif dans le contexte d’un renouveau.

« Et si c’est par là que tout avait commencé ? Les Églises domestiques » ou de « maisonnées » (en d’autres termes, « l’Eglise à la maison ») ne sont-elles pas à l’origine de l’essaimage et de la croissance du christianisme durant les trois premiers siècles de notre ère ? Ne constituent-elles pas le vecteur d’une foi qui va se répandre sans rester cantonnée à quelques communautés isolées ? » (page de couverture). « A partir de leurs modes de vie et d’action, mieux perçus désormais par l’évolution générale de l’histoire antique, Marie-Françoise Baslez rejoint au plus concret la condition des chrétiens de cette période. Ni cachés, ni confinés, ceux-ci portent des questions qui sont parfois aussi les nôtres : l’émergence de l’individu, la place des femmes, la condition d’immigré ou d’esclave, la synodalité, le sens de la mission…) (page de couverture).

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Obsolescence d’une pratique d’église : la chaire et la prédication dans l’Église protestante allemande.

Une observation un peu instruite par les sciences sociales, par l’expérience et par l’histoire nous amène à poser des questions sur les pratiques d’église. En l’occurrence, un bon exemple nous est donné dans un article paru dans Réforme (13octobre 2022) : « Il faut descendre de la chaire ». « Face à la baisse du nombre de fidèles, Georg Lämmling, directeur de l’Institut des sciences sociales de l’Église protestante d’Allemagne appelle à réformer le service dominical, à le rendre plus participatif ».

Georg Lämmling constate que beaucoup de jeunes entre 25 et 35 ans « quittent les rangs de l’Eglise. Un fort processus de distanciation se met en place entre l’adolescence et l’âge adulte durant lequel on n’arrive pas à passer de la foi enfantine à la foi réfléchie. Il faut dire que les jeunes n’ont pas l’impression que l’Eglise réponde aux questions qui leur importent au quotidien. Nous devons donc réfléchir à la manière dont nous pouvons combler ce fossé de communication, notamment lors des services religieux ». Le chercheur rappelle que « le sermon en chaire n’a pas toujours été de mise, développé par les ordres mendiants à la fin du Moyen Age ». On doit, nous dit-il, « se départir de la division entre un discours d’un côté et la réception passive de l’autre. Il faut développer des formes de réception active, rendre le sermon et le service plus interactif ». Il appelle donc à l’expérimentation. Et de plus, « il faut développer une nouvelle forme de discours religieux… Le langage actuel n’est pas celui du quotidien… Cela ne prend pas dans la vie des gens… ».

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Vers l’implosion ?

Entretiens sur le présent et l’avenir du catholicisme

Le catholicisme a été omniprésent dans la culture française, et si il commence aujourd’hui à « s’exculturer » pour reprendre un terme de la sociologue Danièle Hervieu-Léger, il est encore très présent dans nos parcours spirituels. Pour l’immense majorité d’entre nous, nous avons croisé le catholicisme à des moments différents de notre vie et dans différentes conjonctures. En regard de cette réalité très complexe, nos perceptions sont inévitablement variables et nos réactions s’inscrivent dans une gamme extrêmement diversifiée de la participation affirmée, l’adhésion active, la soumission à la distanciation, au rejet et à l’hostilité.

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La théologie autochtone au Canada

Que peut signifier la théologie chrétienne aujourd’hui pour les peuples autochtones (Premières Nations, Métis et Inuits) et, en particulier, ceux qui habitent les villes du Canada ? C’est la question à laquelle aura cherché à répondre le 19e symposium annuel de la North American Institute for Indigenous Theological Studies – a Learning Community (NAIITS), tenu du 2 au 4 juin 2022 à l’Université Acadia : Indigenous in the City[1] (Autochtones dans la ville). Il est compris que les villes nord-américaines ont été fondées et construites « sans l’apport des peuples autochtones ». Elles demeurent pour eux des lieux hostiles à leur épanouissement personnel ainsi que leur développement communautaire. Elles ont trop souvent été des lieux d’exclusion où ils subissent la pauvreté, la violence, le racisme et le chômage, des lieux où « leur indigénéité est perdue ». Comment les villes peuvent-elles être transformées aujourd’hui selon la perspective de la cité céleste ? Serait-il possible de s’y engager différemment afin de promouvoir la vie et les valeurs autochtones en s’appuyant sur des fondements de justice et d’équité et ouvrant ainsi vers un nouvel horizon de réconciliation et de paix ?

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Les enjeux de la théologie publique

Les enjeux de la théologie publique

La théologie publique est apparue au cours des dernières décennies à partir d’une réflexion engagée aux Etats-Unis. Il s’agit de partir des ressources, des intuitions, des valeurs de la foi chrétienne pour contribuer au bien être de la société. C’est entrer en...

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Pionnières

“L’avenir de l’homme est la femme. Elle est la couleur de son âme”. 

Louis Aragon

 

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Entrevue (Interview) avec Jeff Fountain, directeur du Centre Schuman d’études européennes

Monument de Robert Schuman à Bruxelles.

1 Qu’est-ce que le Centre Schuman d’études européennes ?

Le CENTRE SCHUMAN D’ÉTUDES EUROPÉENNES[1][2] est un centre d’études virtuel qui s’efforce de « rafraîchir les mémoires », « remuer les consciences » et « réveiller les imaginations » concernant l’Europe et son héritage chrétien.

Le centre offre des perspectives bibliques sur le passé, le présent et l’avenir de l’Europe, qui mettent l’accent sur la façon dont l’histoire de Jésus a été le plus grand facteur de formation de la culture européenne. Le paradoxe de l’Europe est qu’elle est le continent le plus façonné par la Bible — et par le rejet de la Bible.

Le centre porte le nom de Robert Schuman, le ministre français des Affaires étrangères qui, le 9 mai 1950, a présenté son projet de Communauté européenne du charbon et de l’acier comme premier pas vers une Europe unie. Nous considérons son discours de trois minutes comme le moment déterminant de l’histoire européenne d’après-guerre, car il a lancé le processus d’intégration européenne. Cette date est la date de naissance officielle du projet européen, commémorée comme la Journée de l’Europe, et Schuman a été appelé « Père de l’Europe ».

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Jean Michel Basquiat et la place des jeunes dans l’église d’aujourd’hui.

Je me suis récemment attardé sur un documentaire consacré à Jean Michel Basquiat (1960/1988) artiste libre, non conventionnel et subversif qui déplace les lignes établies des frontières artistiques des années 70/80 (art underground). J’ai commencé à m’intéresser à cet artiste que j’aime beaucoup à l’âge qu’il avait lorsqu’il pratiquait son art : vers 18/25 ans. Un art qui interroge et qui dérange aussi. Certains de mes proches me faisaient la réflexion à propos des productions de Basquiat : « pour moi ce n’est pas de l’art, c’est du délire (psychotrope) ou du gribouillage tout au plus… »

Bien sûr pour moi cette production est l’expression même de l’art. Mais la réflexion que j’ai avec le recul, maintenant que j’ai facilement 20 ans de plus, se situe au-delà de la réflexion sur ce qui relève de l’art ou non. Mais plutôt sur la légitimité d’être subversif lorsqu’on est jeune ! Si on ne l’est pas à 20 ans… c’est rarement à 40/45 ans ou plus qu’on le devient !

Et je mets cette réflexion en parallèle avec la question de l’église et de la place des jeunes dans l’église. Il y a un dilemme pour eux, comme pour les personnes plus âgées les plus subversives (heureusement il y en a encore). C’est l’âge où ils expriment le plus leur coté non conventionnel mais dans un cadre qui ne supporte pas que les lignes bougent, et encore moins à coup de provocation : l’Église. C’est donc tout naturellement que les jeunes se détournent de l’église quand ils ont besoin d’exprimer leur révolte, leur créativité ou leur coté provoquant, parfois maladroitement ou excessivement.

Bien sur l’église n’a pas pour vocation à être une galerie artistique. Et toute œuvre d’art n’est pas inspirée de Dieu. Mais depuis longtemps les églises ont accueilli les œuvres (souvent classiques) des artistes inspirés. La Bible est le terrain d’inspirations innombrables et grandioses qui véhiculent un message puissant et révélant. Une manière d’affirmer une pensée éphémère dans une éternité divine.

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D’un nouveau paysage français à un nouveau contexte culturel et religieux

De Jérôme Fourquet et Jean-Laurent Cassely

Dans quelle société vivons-nous ? Quels en sont les grands mouvements ? Nous avons besoin de comprendre notre société pour nous y situer. A cet égard, les livres du sociologue Jean Viard (1) sont une précieuse ressource. Aujourd’hui, un ouvrage nous présente un ensemble de données et d’informations sur « l’économie, les paysages, les nouveaux modes de vie » dans la ‘France d’aujourd’hui’. Les auteurs : Jérôme Fourquet, auteur de « L’Archipel français » et directeur du département opinion à l’IFOP, et Jean-Laurent Cassely, journaliste et essayiste, nous montrent la France telle qu’elle est devenue aujourd’hui à la suite d’une récente et rapide métamorphose : « La France sous nos yeux » (2). « L’écart entre la réalité du pays et la représentation dont nous avons hérité (à la sortie des « trente glorieuses ») est abyssal. Depuis le milieu des années 80, notre société s’est métamorphosée en profondeur entrant pleinement dans l’univers des services, de la mobilité, de la consommation, de l’image et des loisirs. C’est de la vie quotidienne de cette France nouvelle et ignorée d’elle-même que ce livre entend rendre compte à hauteur d’hommes et de territoires » (page de couverture).

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Les A.C.T. Un combat pour la vie

Je ne connaissais pas les A.C.T. (Appartements de Coordination Thérapeutique) et pourtant, ils méritent d’être connus comme en atteste ce documentaire ! Le film privilégie les témoignages : pas de voix off, pas d’images d’archive, essentiellement des femmes et des hommes – membres de l’équipe, responsables de l’association Initiatives ou résidents – qui parlent de leur expérience. Un bouquet de témoignages, filmé de façon sobre mais professionnelle, qui illustre de manière évidente la pertinence de tels établissements.

Le film présente d’abord le concept et le fonctionnement des A.C.T. qui permettent l’accueil de personnes en situation de précarité et atteintes de maladies chroniques, avec une équipe pluridisciplinaire, pour un accompagnement médico-psycho-social, sans oublier le personnel du service technique, qui fait partie intégrante du projet, en lien avec l’équipe pluridisciplinaire. Comme le dit l’un d’entre eux : « on ne fait pas que de la technique » ! Tout cela est joliment illustré, vers la fin du film, par un kaléidoscope où différents professionnels et responsables de l’association se présentent et apparaissent simultanément à l’écran.

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La danse divine (The divine dance) par Richard Rohr

Une vision relationnelle de Dieu en réponse aux aspirations de notre temps

Les interrogations vis-à-vis de Dieu, tel qu’il est présenté dans la société occidentale en héritage de la chrétienté tournent souvent en désaffection. Mais dans cette représentation de Dieu, s’exprime l’écart entre une religion impériale et le premier accueil de l’Évangile. Face à cet écart, le livre de Richard Rohr, récemment paru aux États-Unis : « The divine dance » (1) apporte plus qu’une analyse : une proposition qui apparait comme une réponse vitale : une redécouverte du plein effet de la vie divine en terme de communion trinitaire. Cet ouvrage est écrit par Richard Rohr, un prêtre franciscain américain, animateur d’un Centre pour l’action et la contemplation (Center of action and contemplation), et, comme les commentaires sur son livre l’indiquent, en phase avec un réseau de personnalités chrétienne engagées dans le renouveau et l’innovation.

Ainsi, un des pionniers de l’Église émergente aux États-Unis, Brian McLaren, écrit à ce sujet : « Dans « La Danse divine », Richard Rohr et Mike Morrel explorent la vision trinitaire comme un chemin qui nous permet de dépasser une vision de Dieu qui pose problème. Ce livre magnifiquement écrit peut faire plus que changer des représentations perturbantes. Il peut changer entièrement notre manière de penser au sujet de Dieu ». Une écrivaine, Kristen Howerton, met en évidence l’originalité de cet ouvrage : « la Danse divine » est, pour notre génération, une redécouverte radicale de la Trinité en nous offrant une compréhension étendue du flux divin du Dieu trinitaire, et comment cela nous apporte un cadre de compréhension générale pour nos relations, notre sexualité, notre estime de soi et notre spiritualité. C’est une lecture éclairante pour tous les chrétiens qui ont lutté pour comprendre la Trinité par-delà une doctrine impersonnelle… ».

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Christ est au fond de moi plus profond que moi


Christ est au fond de moi plus profond que moi

Je suis habité de Dieu. Il n’est pas qu’une présence extérieure à moi en laquelle je crois. Il est la Vie créatrice qui précède toutes vies et qui vit en moi. Je le crois, je le conçois, je le perçois. Il est l’Être dont l’être est partagé et répandu par l’Esprit sur toute chair et tout œuvre de la Création terrestre et cosmique.

Ma foi est-elle mystique ? Oui, en ce sens que je crois au mystère du Christ dont la vie m’émerveille et me porte. Mais ma foi/ma vie est aussi d’ordre moral et engagé dans ce monde.

L’incarnation est le lien entre la spiritualité transcendante du Christ par laquelle je suis en communion — parfois en union — avec le Dieu vivant et vibrant en moi, et mon engagement d’homme impliqué à ma manière et dans mon contexte — donc à l’intérieur des limites qui s’imposent à moi — à la gouvernance culturelle, sociale et politique du monde. Par gouvernance, j’entends que chaque parole et geste de chaque être humain contribue à et influence d’une façon ou d’une autre notre existence commune dans ce monde.

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Tout est grâce, tout est gain


Aujourd’hui, je voudrais partager avec vous un texte qui m’a beaucoup parlé.
Il est de Henri Boulad, un prêtre melkite égyptien, et théologien. Je cite un extrait de son livre “La foi et le sens”, publié en 2014.
Il s’agit d’un passage intitulé «tout est grâce, tout est gain, il n’y a rien à regretter », qui fait écho pour moi, à un autre écrit d’un pasteur américain Merlin Carothers, sur la Louange, louange en toutes occasions et pour tout, y compris pour l’échec et l’épreuve. De la prison à la louange, de Merlin Carothers. L’échec, source de progrès.
« Tout est grâce, tout est gain. Nous devrions graver ces mots dans notre cœur, et sur les murs de notre chambre. Ils expriment le fond et l’axe de toute vie spirituelle.

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Lire la Bible au quotidien

Dans le cadre d’une émission mensuelle proposée par le media RCF (Radio Chrétienne Francophone) de notre ville de Nevers, il m’a été proposé de dire ma pratique de lecture de la Bible.[1]
Avec grand plaisir, en réponse aux trois questions posées à chaque invité, j’ai partagé ma relation avec cette Parole de laquelle je m’approche quasi quotidiennement depuis bientôt 50 ans.

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De la dynamique de l’Église première

« L’Eglise à la maison » de Marie-Françoise Baslez

En regard d’institutions hiérarchisées et codifiées, quand des chrétiens découvrent le Nouveau Testament et la dynamique qui s’y manifeste, ils trouvent dans leurs rencontres, la présence du Christ et le souffle de l’Esprit. Alors apparaissent de petits groupes croyants, des assemblées de prière. Et de même que l’imprimerie a répandu l’accès à la Parole biblique et favorisé le partage qui s’en est suivi, la révolution numérique, internet, a changé la donne de la communication et permet une interconnection en réseaux. Cependant, si l’osmose entre l’Église et l’empire romain, intervenue au IVe siècle a suscité la confusion et engendré une institution religieuse hiérarchisée de haut en bas, nous sortons aujourd’hui de cette situation en entrant en post-chrétienté. Aussi, des théologiens s’inspirent à nouveau de l’exemple de l’Église première dans une vision nouvelle de l’ecclésiologie. Cela avait déjà été le cas au moment de la Réforme. Ainsi aujourd’hui, désirons-nous mieux connaître la vie des premières communautés chrétiennes dans leur environnement, et la manière dont elles ont grandi et communiqué. C’est nous tourner vers la recherche historique. A cet égard, le tout récent livre de Marie- Françoise Baslez sur « l’histoire des premières communautés chrétiennes Ier-IIIe siècle » (1) est particulièrement bienvenu. Et le titre d’entrée : « L’Église à la maison » est significatif dans le contexte d’un renouveau.

« Et si c’est par là que tout avait commencé ? Les Églises domestiques » ou de « maisonnées » (en d’autres termes, « l’Eglise à la maison ») ne sont-elles pas à l’origine de l’essaimage et de la croissance du christianisme durant les trois premiers siècles de notre ère ? Ne constituent-elles pas le vecteur d’une foi qui va se répandre sans rester cantonnée à quelques communautés isolées ? » (page de couverture). « A partir de leurs modes de vie et d’action, mieux perçus désormais par l’évolution générale de l’histoire antique, Marie-Françoise Baslez rejoint au plus concret la condition des chrétiens de cette période. Ni cachés, ni confinés, ceux-ci portent des questions qui sont parfois aussi les nôtres : l’émergence de l’individu, la place des femmes, la condition d’immigré ou d’esclave, la synodalité, le sens de la mission…) (page de couverture).

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Obsolescence d’une pratique d’église : la chaire et la prédication dans l’Église protestante allemande.

Une observation un peu instruite par les sciences sociales, par l’expérience et par l’histoire nous amène à poser des questions sur les pratiques d’église. En l’occurrence, un bon exemple nous est donné dans un article paru dans Réforme (13octobre 2022) : « Il faut descendre de la chaire ». « Face à la baisse du nombre de fidèles, Georg Lämmling, directeur de l’Institut des sciences sociales de l’Église protestante d’Allemagne appelle à réformer le service dominical, à le rendre plus participatif ».

Georg Lämmling constate que beaucoup de jeunes entre 25 et 35 ans « quittent les rangs de l’Eglise. Un fort processus de distanciation se met en place entre l’adolescence et l’âge adulte durant lequel on n’arrive pas à passer de la foi enfantine à la foi réfléchie. Il faut dire que les jeunes n’ont pas l’impression que l’Eglise réponde aux questions qui leur importent au quotidien. Nous devons donc réfléchir à la manière dont nous pouvons combler ce fossé de communication, notamment lors des services religieux ». Le chercheur rappelle que « le sermon en chaire n’a pas toujours été de mise, développé par les ordres mendiants à la fin du Moyen Age ». On doit, nous dit-il, « se départir de la division entre un discours d’un côté et la réception passive de l’autre. Il faut développer des formes de réception active, rendre le sermon et le service plus interactif ». Il appelle donc à l’expérimentation. Et de plus, « il faut développer une nouvelle forme de discours religieux… Le langage actuel n’est pas celui du quotidien… Cela ne prend pas dans la vie des gens… ».

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Vers l’implosion ?

Entretiens sur le présent et l’avenir du catholicisme

Le catholicisme a été omniprésent dans la culture française, et si il commence aujourd’hui à « s’exculturer » pour reprendre un terme de la sociologue Danièle Hervieu-Léger, il est encore très présent dans nos parcours spirituels. Pour l’immense majorité d’entre nous, nous avons croisé le catholicisme à des moments différents de notre vie et dans différentes conjonctures. En regard de cette réalité très complexe, nos perceptions sont inévitablement variables et nos réactions s’inscrivent dans une gamme extrêmement diversifiée de la participation affirmée, l’adhésion active, la soumission à la distanciation, au rejet et à l’hostilité.

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La théologie autochtone au Canada

Que peut signifier la théologie chrétienne aujourd’hui pour les peuples autochtones (Premières Nations, Métis et Inuits) et, en particulier, ceux qui habitent les villes du Canada ? C’est la question à laquelle aura cherché à répondre le 19e symposium annuel de la North American Institute for Indigenous Theological Studies – a Learning Community (NAIITS), tenu du 2 au 4 juin 2022 à l’Université Acadia : Indigenous in the City[1] (Autochtones dans la ville). Il est compris que les villes nord-américaines ont été fondées et construites « sans l’apport des peuples autochtones ». Elles demeurent pour eux des lieux hostiles à leur épanouissement personnel ainsi que leur développement communautaire. Elles ont trop souvent été des lieux d’exclusion où ils subissent la pauvreté, la violence, le racisme et le chômage, des lieux où « leur indigénéité est perdue ». Comment les villes peuvent-elles être transformées aujourd’hui selon la perspective de la cité céleste ? Serait-il possible de s’y engager différemment afin de promouvoir la vie et les valeurs autochtones en s’appuyant sur des fondements de justice et d’équité et ouvrant ainsi vers un nouvel horizon de réconciliation et de paix ?

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Entrevue (Interview) avec Jeff Fountain, directeur du Centre Schuman d’études européennes

Monument de Robert Schuman à Bruxelles.

1 Qu’est-ce que le Centre Schuman d’études européennes ?

Le CENTRE SCHUMAN D’ÉTUDES EUROPÉENNES[1][2] est un centre d’études virtuel qui s’efforce de « rafraîchir les mémoires », « remuer les consciences » et « réveiller les imaginations » concernant l’Europe et son héritage chrétien.

Le centre offre des perspectives bibliques sur le passé, le présent et l’avenir de l’Europe, qui mettent l’accent sur la façon dont l’histoire de Jésus a été le plus grand facteur de formation de la culture européenne. Le paradoxe de l’Europe est qu’elle est le continent le plus façonné par la Bible — et par le rejet de la Bible.

Le centre porte le nom de Robert Schuman, le ministre français des Affaires étrangères qui, le 9 mai 1950, a présenté son projet de Communauté européenne du charbon et de l’acier comme premier pas vers une Europe unie. Nous considérons son discours de trois minutes comme le moment déterminant de l’histoire européenne d’après-guerre, car il a lancé le processus d’intégration européenne. Cette date est la date de naissance officielle du projet européen, commémorée comme la Journée de l’Europe, et Schuman a été appelé « Père de l’Europe ».

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Jean Michel Basquiat et la place des jeunes dans l’église d’aujourd’hui.

Je me suis récemment attardé sur un documentaire consacré à Jean Michel Basquiat (1960/1988) artiste libre, non conventionnel et subversif qui déplace les lignes établies des frontières artistiques des années 70/80 (art underground). J’ai commencé à m’intéresser à cet artiste que j’aime beaucoup à l’âge qu’il avait lorsqu’il pratiquait son art : vers 18/25 ans. Un art qui interroge et qui dérange aussi. Certains de mes proches me faisaient la réflexion à propos des productions de Basquiat : « pour moi ce n’est pas de l’art, c’est du délire (psychotrope) ou du gribouillage tout au plus… »

Bien sûr pour moi cette production est l’expression même de l’art. Mais la réflexion que j’ai avec le recul, maintenant que j’ai facilement 20 ans de plus, se situe au-delà de la réflexion sur ce qui relève de l’art ou non. Mais plutôt sur la légitimité d’être subversif lorsqu’on est jeune ! Si on ne l’est pas à 20 ans… c’est rarement à 40/45 ans ou plus qu’on le devient !

Et je mets cette réflexion en parallèle avec la question de l’église et de la place des jeunes dans l’église. Il y a un dilemme pour eux, comme pour les personnes plus âgées les plus subversives (heureusement il y en a encore). C’est l’âge où ils expriment le plus leur coté non conventionnel mais dans un cadre qui ne supporte pas que les lignes bougent, et encore moins à coup de provocation : l’Église. C’est donc tout naturellement que les jeunes se détournent de l’église quand ils ont besoin d’exprimer leur révolte, leur créativité ou leur coté provoquant, parfois maladroitement ou excessivement.

Bien sur l’église n’a pas pour vocation à être une galerie artistique. Et toute œuvre d’art n’est pas inspirée de Dieu. Mais depuis longtemps les églises ont accueilli les œuvres (souvent classiques) des artistes inspirés. La Bible est le terrain d’inspirations innombrables et grandioses qui véhiculent un message puissant et révélant. Une manière d’affirmer une pensée éphémère dans une éternité divine.

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D’un nouveau paysage français à un nouveau contexte culturel et religieux

De Jérôme Fourquet et Jean-Laurent Cassely

Dans quelle société vivons-nous ? Quels en sont les grands mouvements ? Nous avons besoin de comprendre notre société pour nous y situer. A cet égard, les livres du sociologue Jean Viard (1) sont une précieuse ressource. Aujourd’hui, un ouvrage nous présente un ensemble de données et d’informations sur « l’économie, les paysages, les nouveaux modes de vie » dans la ‘France d’aujourd’hui’. Les auteurs : Jérôme Fourquet, auteur de « L’Archipel français » et directeur du département opinion à l’IFOP, et Jean-Laurent Cassely, journaliste et essayiste, nous montrent la France telle qu’elle est devenue aujourd’hui à la suite d’une récente et rapide métamorphose : « La France sous nos yeux » (2). « L’écart entre la réalité du pays et la représentation dont nous avons hérité (à la sortie des « trente glorieuses ») est abyssal. Depuis le milieu des années 80, notre société s’est métamorphosée en profondeur entrant pleinement dans l’univers des services, de la mobilité, de la consommation, de l’image et des loisirs. C’est de la vie quotidienne de cette France nouvelle et ignorée d’elle-même que ce livre entend rendre compte à hauteur d’hommes et de territoires » (page de couverture).

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Les A.C.T. Un combat pour la vie

Je ne connaissais pas les A.C.T. (Appartements de Coordination Thérapeutique) et pourtant, ils méritent d’être connus comme en atteste ce documentaire ! Le film privilégie les témoignages : pas de voix off, pas d’images d’archive, essentiellement des femmes et des hommes – membres de l’équipe, responsables de l’association Initiatives ou résidents – qui parlent de leur expérience. Un bouquet de témoignages, filmé de façon sobre mais professionnelle, qui illustre de manière évidente la pertinence de tels établissements.

Le film présente d’abord le concept et le fonctionnement des A.C.T. qui permettent l’accueil de personnes en situation de précarité et atteintes de maladies chroniques, avec une équipe pluridisciplinaire, pour un accompagnement médico-psycho-social, sans oublier le personnel du service technique, qui fait partie intégrante du projet, en lien avec l’équipe pluridisciplinaire. Comme le dit l’un d’entre eux : « on ne fait pas que de la technique » ! Tout cela est joliment illustré, vers la fin du film, par un kaléidoscope où différents professionnels et responsables de l’association se présentent et apparaissent simultanément à l’écran.

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La danse divine (The divine dance) par Richard Rohr

Une vision relationnelle de Dieu en réponse aux aspirations de notre temps

Les interrogations vis-à-vis de Dieu, tel qu’il est présenté dans la société occidentale en héritage de la chrétienté tournent souvent en désaffection. Mais dans cette représentation de Dieu, s’exprime l’écart entre une religion impériale et le premier accueil de l’Évangile. Face à cet écart, le livre de Richard Rohr, récemment paru aux États-Unis : « The divine dance » (1) apporte plus qu’une analyse : une proposition qui apparait comme une réponse vitale : une redécouverte du plein effet de la vie divine en terme de communion trinitaire. Cet ouvrage est écrit par Richard Rohr, un prêtre franciscain américain, animateur d’un Centre pour l’action et la contemplation (Center of action and contemplation), et, comme les commentaires sur son livre l’indiquent, en phase avec un réseau de personnalités chrétienne engagées dans le renouveau et l’innovation.

Ainsi, un des pionniers de l’Église émergente aux États-Unis, Brian McLaren, écrit à ce sujet : « Dans « La Danse divine », Richard Rohr et Mike Morrel explorent la vision trinitaire comme un chemin qui nous permet de dépasser une vision de Dieu qui pose problème. Ce livre magnifiquement écrit peut faire plus que changer des représentations perturbantes. Il peut changer entièrement notre manière de penser au sujet de Dieu ». Une écrivaine, Kristen Howerton, met en évidence l’originalité de cet ouvrage : « la Danse divine » est, pour notre génération, une redécouverte radicale de la Trinité en nous offrant une compréhension étendue du flux divin du Dieu trinitaire, et comment cela nous apporte un cadre de compréhension générale pour nos relations, notre sexualité, notre estime de soi et notre spiritualité. C’est une lecture éclairante pour tous les chrétiens qui ont lutté pour comprendre la Trinité par-delà une doctrine impersonnelle… ».

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Christ est au fond de moi plus profond que moi


Christ est au fond de moi plus profond que moi

Je suis habité de Dieu. Il n’est pas qu’une présence extérieure à moi en laquelle je crois. Il est la Vie créatrice qui précède toutes vies et qui vit en moi. Je le crois, je le conçois, je le perçois. Il est l’Être dont l’être est partagé et répandu par l’Esprit sur toute chair et tout œuvre de la Création terrestre et cosmique.

Ma foi est-elle mystique ? Oui, en ce sens que je crois au mystère du Christ dont la vie m’émerveille et me porte. Mais ma foi/ma vie est aussi d’ordre moral et engagé dans ce monde.

L’incarnation est le lien entre la spiritualité transcendante du Christ par laquelle je suis en communion — parfois en union — avec le Dieu vivant et vibrant en moi, et mon engagement d’homme impliqué à ma manière et dans mon contexte — donc à l’intérieur des limites qui s’imposent à moi — à la gouvernance culturelle, sociale et politique du monde. Par gouvernance, j’entends que chaque parole et geste de chaque être humain contribue à et influence d’une façon ou d’une autre notre existence commune dans ce monde.

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Tout est grâce, tout est gain


Aujourd’hui, je voudrais partager avec vous un texte qui m’a beaucoup parlé.
Il est de Henri Boulad, un prêtre melkite égyptien, et théologien. Je cite un extrait de son livre “La foi et le sens”, publié en 2014.
Il s’agit d’un passage intitulé «tout est grâce, tout est gain, il n’y a rien à regretter », qui fait écho pour moi, à un autre écrit d’un pasteur américain Merlin Carothers, sur la Louange, louange en toutes occasions et pour tout, y compris pour l’échec et l’épreuve. De la prison à la louange, de Merlin Carothers. L’échec, source de progrès.
« Tout est grâce, tout est gain. Nous devrions graver ces mots dans notre cœur, et sur les murs de notre chambre. Ils expriment le fond et l’axe de toute vie spirituelle.

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Lire la Bible au quotidien

Dans le cadre d’une émission mensuelle proposée par le media RCF (Radio Chrétienne Francophone) de notre ville de Nevers, il m’a été proposé de dire ma pratique de lecture de la Bible.[1]
Avec grand plaisir, en réponse aux trois questions posées à chaque invité, j’ai partagé ma relation avec cette Parole de laquelle je m’approche quasi quotidiennement depuis bientôt 50 ans.

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Les français et la Bible

Les français et la Bible

Pour l’Alliance biblique française et la Croix, L’IFOP a interrogé les français sur leur rapport à la Bible ; « Alors que la France connaît un fort déclin de la pratique religieuse depuis ces cinquante dernières années, cette enquête fait apparaître un recul de la...

De la démesure à la sobriété joyeuse

De la démesure à la sobriété joyeuse

Jalons pour une transformation spirituelle Conférence donnée par Michel Maxime Egger « Cheminer dans la sobriété, c’est une condition sine qua non pour permettre que tous les habitants de la planète, humains et non humains, puissent vivre sur une seule planète… La...

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Pionnières

“L’avenir de l’homme est la femme. Elle est la couleur de son âme”. 

Louis Aragon

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Pionnières. Comment les femmes sont devenues pasteures, de Lauriane Savoy, Éditions Labor et Fides, mars 2023.
 
« Comme il est réconfortant et même savoureux, pour des femmes comme moi, prises dans le glacis masculin de l’Église catholique, de bénéficier de ces nombreux témoignages de femmes protestantes ! C’est un appui considérable. Aussi, ai- je refermé ce livre avec un très fort sentiment de gratitude et aussi… avec le sourire. » (Anne Soupa, Préface. Pionnières. Comment les femmes sont devenues pasteures, de Lauriane Savoy) : « La présente enquête, à la croisée entre histoire, théologie et études genre, est inédite ».
 

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Une action associative pour l’agriculture urbaine et la compréhension interreligieuse en Centre-Afrique

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Une action associative pour l’agriculture urbaine et la compréhension interreligieuse en Centre-Afrique

De retour en Centre-Afrique après un doctorat autour de la théologie de l’espérance de Jürgen Moltmann, Rodolphe Gozegba anime l’association A9.

Dans un pays vulnérable confronté au défi de la pauvreté, du dérèglement climatique, des conflits politico-religieux, A9 entreprend une action pacifiante selon deux axes particulièrement innovants : le développement d’une agriculture urbaine visant à l’autonomie alimentaire sous forme de jardins potagers dans une grande ville africaine, et la mise en œuvre d’une formation  en vue de la compréhension interreligieuse et interculturelle en partenariat avec l’université de Bangui.

 

Les bienfaits et les fruits d’une spiritualité plus ouverte et inclusive des pratiques traditionnelles

Suite à l’intérêt qu’a suscité au cours de l’été l’article de Pierre LeBel sur la théologie autochtone au Canada et les déplacements qu’elle propose, Témoins a décidé d’offrir un webinaire sur ce thème avec Pierre LeBel et ses deux invités.

La chrétienté ayant participé à la colonisation des territoires et des peuples dans les Amériques, l’Afrique, en Asie et en Océanie, il s’ensuit que la postchrétienté participe à la décolonisation des territoires et des peuples autochtones au Canada et ailleurs dans le monde. Que nous proposent les théologiens et les croyants autochtones afin que la foi chrétienne soit véritablement libératrice ? Notre webinaire portera sur le Québec afin de voir comment ses enjeux se réalisent sur le terrain.

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