3 découvertes sur la spiritualité des français qui peuvent nous aider à mieux les rejoindre (partie 1/3)

Si vous êtes attentifs aux revues de presse dans les kiosques, aux pubs sur les réseaux sociaux ou aux émissions sur les chaînes de télé, vous avez probablement constaté un intérêt croissant autour du développement personnel et des nouvelles spiritualités (Reiki, Chamanisme, Sorcellerie, etc.).

Si on peut observer, parfois, une certaine méfiance sur ce nouvel intérêt de la part des journalistes (cf. émission Capital de M6 sur l’argent, les sectes, les coachs et le développement personnel) ou des intellectuels (cf. “Développement (im)personnel” de la philosophe Julia de Funès). Le traitement et la considération de cette tendance de fond – qui concerne de plus en plus de Français aujourd’hui – va vers un a priori positif. Il suffit de voir la croissance du rayon de la FNAC ou de n’importe quelle librairie généraliste.

 

En haut à gauche les religions orientales dans le rayon Religion.  En face, dans un espace plus grand, les sections : psychologie, développement personnel et ésotérisme – FNAC Chatelet les Halles.

La petite histoire…

Il y a 5-6 ans, je ne prêtais pas vraiment attention à tout cela. J’avais conscience d’un intérêt pour le développement personnel – ayant moi-même lu des livres entrant dans cette catégorie – mais je n’avais pas saisi les contours de ce phénomène culturel et spirituel, ni compris ses effets sur la recherche de sens et de bien-être des français et encore moins le lien avec l’évangélisation.

Pourtant, j’avais travaillé pendant 8 ans pour l’association des Parcours Alpha[1] en tant que responsable du pôle Jeunes. Je fus aux premières loges de l’action de l’Esprit en observant à maintes reprises comment celui-ci s’y prenait pour convertir les cœurs et les rendre captifs de l’amour de Jésus.

Bien que convaincu de la pédagogie Alpha, de son impact et de ses fruits[2], si je sentais qu’Alpha était au seuil[3] de la paroisse/église comme une porte donnant vers l’intérieur, un accès vers Jésus et son Église[4]. Je m’interrogeais sur ce qu’il y avait de l’autre côté de cette porte, vers l’extérieur… J’imaginais un monde inconnu dans lequel évoluaient des millions de Français et sans accès direct à l’Évangile. Je sentais qu’il y avait quelque chose qui se passait de l’autre côté et qui nous échappait complètement, nous, habitants de “Chrétienland“.

La première passerelle, pour moi, vers ce monde de l’autre côté, fut l’invitation d’Éric Célérier à le rejoindre pour travailler avec lui et le TopChrétien. Celle-ci m’a permis de mettre le pied sur le plus grand continent (Internet) et de me poser la question : À quoi cela ressemble d’être missionnaire sur Internet ?

Internet, le continent invisible

L’élément déclencheur qui m’amena à aller de l’autre côté de ce “Seuil” fut mon implication inattendue sur un autre projet d’évangélisation qui, à l’image d’Alpha, avait connu lui aussi un énorme impact, mais cette fois-ci sur internet : le portail connaitredieu.com.

Ce site fut créé par Éric Célérier alors qu’il était encore missionnaire à Agapé France. C’est en sortant d’Agapé France qu’il put accomplir sa vision de traduire ce site dans différentes langues puis de démarrer ce qui deviendra le TopChrétien. Si connaitredieu.com toucha rapidement des milliers de personnes en francophonie, une fois la traduction[5] dans d’autres langues, il permit à des millions de personnes de rencontrer Dieu et de faire la prière d’acceptation de Jésus.

En 2018, L’équipe dirigeante du TopChrétien voulait rafraîchir ce portail. En travaillant sur le projet, j’ai découvert qu’une enquête avait été faite en 2012 par Clarity Research[6] qui a permis de connaître les profils des internautes[7]. Cette étude a montré que 70% des personnes venant sur le site étaient chrétiennes ou avaient du moins un arrière-plan chrétien. En 2018, on était passé à environ 90% d’auditeurs chrétiens. Donc l’audience visée à l’origine pour ce site ne représentait que 10% de l’audience totale.

Comment se faisait-il qu’un site internet destiné à l’évangélisation et donc à des non-chrétiens attire une grande majorité de chrétiens ?

Alors certes, il peut y avoir plusieurs explications – notamment du fait que ce site était promu dans les milieux chrétiens – pourtant, internet est le domaine d’expertise phare du TopChrétien. Ils maîtrisent l’art d’atteindre leur public via des publicités ciblées à l’aide de mots-clés (ex : Dieu, Jésus, la foi…) pour que les internautes puissent – en tapant ces mots – tomber facilement sur connaitredieu.com.

Donc ce n’était pas un mauvais calibrage des pubs sur Google qui pouvait expliquer ce problème d’audience… Quelque chose d’autre avait changé… et Clarity Research avait mis le doigt dessus en 2012.

En route pour la jungle du développement personnel et des nouvelles spiritualités

C’est dans ce cadre que je proposai à David Nolent, directeur du TopChrétien, d’entrer en contact avec Scott Friederich de Clarity Research afin de mieux comprendre son travail de 2012 ainsi que les conditions pour reconduire une enquête. Ce dernier nous proposa de faire une enquête qualitative via des focus group[8]. Ce projet nous donna également l’opportunité de proposer à quelques grandes organisations[9] impliquées dans l’évangélisation de s’associer à notre démarche. Le projet d’enquête démarra en janvier 2019 et les résultats furent communiqués lors d’une journée dédiée le 22 octobre 2021 à Paris à moins d’une soixantaine de leaders.

Parallèlement à ce projet “moyen terme”, nous nous sommes rendus plus attentifs aux tendances concernant les nouvelles spiritualités sur internet, notamment sur Google, Youtube et les réseaux sociaux Instagram et Facebook. Une vidéo d’un Youtubeur agnostique sur les “5 théories concernant Jésus” donna l’opportunité à un Youtubeur de l’équipe du TopChrétien de faire une vidéo sur un mode de réponse indirecte. Ceci nous donna l’opportunité de faire un sondage en ligne auprès de plus de 400 personnes dont 336 se revendiquaient athées ou agnostiques[10].

Progressivement et par ces différents moyens, nous avons commencé à nous repérer dans cette jungle du développement personnel, des spiritualités et des religions. Dans le cadre de ce projet, notre démarche est proche de la “recherche-action[11]” avec une visée pratique de création d’outils. L’un de ces outils fut un Quiz sur les différentes spiritualités[12] qui toucha plus de 100 000 personnes. Cette approche nous a permis de tester des hypothèses et de les vérifier en direct avec notre audience. Ce fut passionnant !

Il y aurait beaucoup de choses à dire sur toutes les découvertes faites durant cette exploration et en quoi elles peuvent nous aider à être plus pertinents sur le plan du témoignage. C’est pour cela que je travaille sur l’écriture d’un livre numérique à ce sujet. Si vous êtes intéressés, c’est par ici.

Dans cette série d’articles, je vous partage seulement 3 découvertes que nous avons faites durant ces 3 ans 1/2 d’enquête, de sondage et d’expériences terrain.

Je vous montrerai tout au long de ces articles en quoi ces découvertes – si elles sont perturbantes pour un habitant de Chrétienland – peuvent constituer des opportunités pour faire évoluer notre approche du témoignage de notre espérance.

  • Découverte n°1 : Une majorité discrète mais croissante d’agnostiques
  • Découverte n°2 : Différents profils d’agnostiques ouverts à la spiritualité
  • Découverte n°3 : Des agnostiques spiritualistes hypersensibles au prosélytisme

Passons à la première découverte…

La découverte n°1 : Une majorité discrète mais croissante d’agnostiques

La perception commune veut que la France est un pays athée. Dans un article du journal Le Monde[13], un des sous-titres est “la France, l’un des pays les plus athées du monde”. En effet, dans le classement, la France serait à la 4ème place derrière la Chine, le Japon et la République tchèque. Dans les pays de l’Union Européen, elle est n°2 après l’Allemagne de l’Est[14].

Si on prend en considération le rapport complexe et spécifique de la France à la religion depuis la révolution française (1789) jusqu’aux récentes évolutions de la laïcité ou encore la problématique autour de l’enseignement du fait religieux à l’école (le rapport Regis Debray[15]), on pourrait conclure que cette réputation est justifiée. Sans parler du traitement maladroit par les médias d’évènements aussi anodins que le bandeau de Neymar[16] arborant “100% Jésus” aux plus importants comme la stigmatisation[17] de l’église de la Porte Ouverte en tant qu’hyper-cluster du Covid 19 en France.

Pourtant les enquêtes ne montrent pas une France divisée entre religieux et athées, mais en trois[18]. On sous-estime – à tort selon moi – l’importance de la catégorie entre les deux qui est tout aussi importante.

Mon intuition et hypothèse de départ fut que le tiers dont on parle le moins est probablement le plus intéressant. Tout d’abord, parce qu’il concerne au total 35% des Français (en totalisant les personnes se déclarant non religieux et ne sait pas/pas de réponses) – voir plus – si on se réfère aux chiffres donnés par Jean-Paul Willaime[19] :

Dans tous les pays de la zone euro-américaine, ils sont plus nombreux que les athées convaincus dont on les distingue (…). En France, les athées constituent 21% de la population, les non-religieux 37%.”

Ensuite, l’ensemble des “non-religieux” constitue une catégorie dont les frontières sont floues pour au moins deux raisons. La première est la suivante :

Une part importante de personnes liées à une religion déclare avoir la foi mais ne se conçoit pas comme “une personne religieuse” comme l’a révélé entre autres l’enquête “CSA/Le monde des religions – Portrait des catholiques (2007)” qui a montré que 52% des catholiques estimaient que l’existence de Dieu est certaine ou probable.

La seconde est que, dans cette catégorie des non-religieux, se trouve une part importante d’agnostiques; or dans l’esprit de beaucoup de français, on est soit athée, soit religieux. Ce biais fait qu’ils n’ont pas toujours connaissance de la différence entre l’agnosticisme (croire qu’il n’est pas possible de savoir si Dieu existe ou pas), et l’athéisme (la certitude que Dieu n’existe pas). La conséquence est qu’il y a probablement une portion qui se définit comme athée mais qui serait plutôt dans le tiers du milieu[20].

Ce que nous ont appris le sondage, l’enquête qualitative et le quiz est que cette catégorie de “non-religieux” n’est pas synonyme d’incroyance, bien au contraire. Si ces découvertes posent de nombreuses questions, elles témoignent de la nécessité d’approfondir les données ainsi que leur analyse.

C’est ce qui fait dire à Pierre Bréchon et Anne-Laure Zwilling – auteurs de “Indifférence religieuse ou athéisme militant” paru en 2020 – que “les travaux sur la non-religion ouvrent de nombreux champs de recherche passionnants“.

L’un des intérêts de leur ouvrage est qu’ils ont, à partir des assertions des personnes indifférentes à la religion, abouti à une classification intéressante qui recoupe quelques-unes de nos observations. Ils distinguent notamment :

  • Les sécularistes d’affirmation souvent désignés par les études comme les athées convaincus.
  • Les sécularistes d’indifférence plutôt classés dans les enquêtes sous la rubrique des non-religieux.

Le point commun le plus évident entre les non-religieux et les athées est qu’ils se tiennent à distance des grandes institutions du croire et des religions.

Mais étonnamment, cela ne veut pas dire automatiquement un rejet du spirituel. Si cela peut paraître à première vue contradictoire, nous avons découvert d’une part qu’il y avait un intérêt certain pour la spiritualité, d’autre part celui-ci est différent selon les deux catégories présentées ci-dessus :

  • Les athées convaincus ouverts à la spiritualité vont se tourner assez naturellement vers une spiritualité de type laïque, c’est-à-dire sans Dieu. Celle-ci peut s’inscrire dans le courant de pensée d’André Comte Sponville, de Luc Ferry etc. La particularité de ce type de démarche est la place centrale de la rationalité qui est aussi caractéristique du positionnement d’athée. Cette recherche spirituelle va donc se situer systématiquement en dehors des systèmes de croyances et des religions. C’est pour cela qu’ils peuvent adhérer à des outils qui s’inscrivent dans un marché en plein développement si on prend l’exemple de l’application Petit Bambou, lancée en 2015, revendiquant 2,7 millions d’utilisateurs. De grandes entreprises comme la SNCF, le Crédit Foncier, Auchan ont pris des abonnements pour leurs salariés. Le fondateur précise d’ailleurs – lors d’une interview en 2019 à La Croix – que ces exercices hebdomadaires de méditation sont « encadrés, laïcisés et nettoyés de tout aspect religieux ».
  • Du côté des sécularistes indifférents, on observe un ancrage moins fort de cette rationalité si caractéristique des sécularistes d’affirmation. On observe une plus grande ouverture aux nouvelles spiritualités. Le paradoxe est que si cette population peut se qualifier d’agnostique sur la question de Dieu, elle peut être, dans le même temps, ouverte à des nouveaux systèmes de croyances impliquant une perception différente du divin.

Nous avons découvert que ce 2ème tiers de non-religieux est probablement constitué d’une partie importante de personnes ouvertes à la spiritualité. Ce qui fait écho à ce qu’écrit Jean-Louis Servan-Schreiber – journaliste et patron de presse dans un article[21] pour Psychologies Magazine – lorsqu’il résume la situation :

“Entre la foi, belle mais rare, et l’athéisme de conviction ou de négligence s’ouvre la vaste zone où campent la plupart d’entre nous. Un champ pacifié où l’on ne se déchire plus comme aux temps, révolus, de l’anticléricalisme – même si ce dernier renaît dans les pays où sévissent des formes d’intégrisme, comme Israël ou bien des pays musulmans. La spiritualité est affaire toute personnelle, à tel point qu’on a pudeur à en parler, plus encore que de sa sexualité. Peut-être aussi parce qu’on a du mal à expliquer ce qu’on recherche.”

C’est un phénomène grandissant qui touche notre voisin jusqu’au Président de la République…

Samuel Pruvot, un journaliste, a décidé d’interviewer les candidats à la présidentielle pour le magazine Mission, en les interrogeant sur ce qu’ils pensaient de Jésus (note “9 candidats face à Jésus”) et il raconte cette expérience à Ivan Carluer et Christine Kelly, en live, en étant reçus dans le nouveau centre MLK. Lors de cet interview[22] à 7:19, on découvre que le président actuel se définit comme un agnostique spiritualiste.

Dans le prochain article, je vous partagerai ce que l’on a compris de ces “agnostiques spiritualistes” et ce qui nous a particulièrement encouragé lorsqu’on a commencé à plonger dans cette jungle du développement personnel et des spiritualités. Et on verra que ces derniers vont chercher partout des réponses à leurs questions et leurs besoins sauf dans les religions traditionnelles.

Une fois que l’on commence à regarder de plus près cette masse importante de personnes, on distingue des visages et l’on découvre des personnes ouvertes, en quête de réponse. Il y a une authentique faim et soif spirituelle.

Ces non-religieux, en partie agnostiques (ou en partie croyants) ouverts à la spiritualité, sont engagés dans un exode spirituel des systèmes religieux dont on ignore encore tous les contours. Ce qui nous paru évident dans cette exploration et qu’ils ont plusieurs choses à nous dire sur la manière de les amener à une découverte de l’évangile.

Mieux connaître ce public d’indifférents religieux, agnostiques et/ou intéressé par les nouvelles spiritualités est une aventure au bout de laquelle, j’ai appris à adopter une approche différente qui facilite le cheminement spirituel de ce public. Si vous êtes intéressés par ce livre numérique et que vous voulez savoir quand il va sortir, le mieux est de s’inscrire ici.

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Bio auteur – (Pseudo) Romain Choylet

Romain Choylet est diplômé d’un master en histoire de Paris VII. Il s’est spécialisé tout au long de son cursus sur la question des religions. Son passé d’éducateur et sa conversion ex-cathedra ont éveillé chez lui un intérêt particulier pour le ministère auprès des jeunes et de l’évangélisation. En 2009, Il a intégré l’équipe nationale des parcours Alpha en tant que responsable du pôle jeunes. De 2018 à 2022, il rejoint l’équipe du TopChrétien. De là, il travaille sur un projet novateur afin d’atteindre les agnostiques qui sont ouverts au développement personnel et aux nouvelles spiritualités, auprès desquels il développera une expertise unique. En 2019, sa certification en coaching professionnel d’individu, d’équipe et d’organisation, lui donne la formation et les outils qui vont aider à la création d’une formation contre-intuitive pour les chrétiens qui souhaitent atteindre ce public.

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[1]Le parcours Alpha est une série de rencontres permettant de faire une découverte de la foi chrétienne. Chaque rencontre se fait autour d’un repas, d’un enseignement et d’un groupe de discussion.

[2] Le parcours Alpha est maintenant implanté dans 1000 lieux en France et atteints 25 000 personnes chaque année.

[3] Le parcours Alpha fait partie de la palette d’outils utilisée dans le cadre d’une pastorale du seuil, c’est-à-dire une pastorale qui cherche à rejoindre des personnes au seuil de la paroisse/église.

[4] Ou l’inverse si vous êtes catholiques.

[5] Cette enquête fut à l’origine de la création d’un site spécifique pour les athées avec le portail comprendredieu.com, un autre site spécifique pour les personnes ayant des pensées morbides jeveuxmourir.com, un autre portail en direction des catholiques ayant un attachement particulier à Marie avec connaitremarie.com.

[6] Le résumé du rapport révèle les différents profils des internautes allant sur le site connaitredieu ainsi qu’une grille des besoins. Le rapport détaillé permettait d’avoir une vue plus précise des différents profils.

[7] Le portail fut traduit en 27 langues à travers le réseau jesus.net fondé par Éric Célérier.

[8] Les candidats pour l’enquête sont accueillis dans une salle vitrée qui permet au commanditaire de l’enquête d’entendre tout et de voir tout ce qui se passe comme dans les films où ils interviewent des suspects. Les candidats savent qu’il y a des gens derrière la vitre et que tout est enregistré par caméra et via des micros pour avoir les bandes audios pour la retranscription.

[9] Voici la liste des organisations ayant désiré s’associer à cette enquête :

  • Le CNEF
  • France évangélisation
  • Le Forum des évangélistes
  • Agapé France
  • Fédération des médias chrétiens

[10] Je raconte les détails de cela dans mon ebook, ce fut une expérience très instructive pour comprendre les codes Youtube.

[11] La recherche-action, également appelée “recherche-expérimentation” ou “recherche-intervention” est une méthode d’analyse souvent utilisée pour collecter des informations lors de travaux de recherche. C’est une technique de recherche qui vous demande de rester en contact avec le terrain et la réalité. Cet outil d’analyse en contact direct avec le terrain et la réalité, s’appui sur plusieurs outils ou méthodes d’analyse qualitative (entretiens, observation, focus group, étude de cas) ou quantitative (sondage, questionnaire). C’est ce qui nous a aidé à créer des outils et des contenus adaptés à notre audience.

[12] Ce quiz n’a pas été communiqué dans les milieux chrétiens afin que les inscrits soient surtout des non-chrétiens.

[13]https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2015/05/07/une-grande-majorite-de-francais-ne-se-reclament-d-aucune-religion_4629612_4355770.html

[14] Colloque CEFRELCO – Croire et ne pas croire aujourd’hui Paris – 27 mars 2019, intervention de Pierre Bréchon

[15] https://irel.ephe.psl.eu/sites/default/files/iesr_import//debray.pdf

[16]https://www.lefigaro.fr/le-scan-sport/buzz/2016/08/21/27002-20160821ARTFIG00032-neymar-refait-polemique-avec-son-bandeau-100-jesus.php

[17] https://www.lalsace.fr/sante/2021/02/17/video-bourtzwiller-un-an-apres-la-porte-ouverte-chretienne-sort-de-la-stigmatisation

[18]https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2015/05/07/une-grande-majorite-de-francais-ne-se-reclament-d-aucune-religion_4629612_4355770.html

[19] La religion dans la France Contemporaine – Entre sécularisation et recomposition, Philippe Portier et Jean-Paul Willaime. Paris, Armand Colin, coll. « U », 2021, 316 p.

[20] Indifférence religieuse ou athéisme militant de Pierre Bréchon et Anne-Laure Zwilling, 2020.

[21]https://www.psychologies.com/Culture/Spiritualites/Pratiques-spirituelles/Articles-et-Dossiers/La-spiritualite-un-nouveau-besoin/La-spiritualite-laique-existe

[22] https://youtu.be/6PLoTiq8PQ8

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